Construit autour de l’accueil des jeunes, le club tentent de se diversifier dans ses activités vélos afin d’attirer de nouveaux licenciés adultes pour améliorer l’encadrement. Le manque de réussite de cette dernière action met, malheureusement, un peu en péril la pérennisation du club qui réussit pourtant très bien au niveau de son "école cyclo." labellisée "École Française de Vélo".
Les jeunes de l’école française de vélo franchissent les bosses de "la monotrace des marcassins". La monotrace entièrement tracée et entretenue par le club mesure 3 km dont 150m de "grosses bosses". Ils attendaient ce jour depuis quelque temps déjà.
Même les deux nouvelles (7 et 9 ans) ont pris plaisir quoique, quelquefois, ce n’est pas facile de dominer sa peur. Surtout quand c’est le premier passage ici.
A l’aller, les jeunes se sont "éclatés" avec ce qu’ils appellent "les champignons péteux". Sur le chemin du retour, outre les champignons et deux salamandres écrasées par les voitures, ils ont pu suivre le trajet d’une buse qui se battait en vol contre deux choucas (ou deux corneilles).
Si le thème principal était le franchissement (des bosses bien sûr), la séance a aussi permis de faire un peu de mécanique (réglage dérailleur et pose correcte d’un patin de frein avant).
publié le samedi 21 octobre 2023 , par
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Chaque année, la "Ruche Cyclo" organise la randonnée des châtaignes (route) et des bogues (vtt ). Et, comme chaque année, Nouan-Rando participe et propose à ses jeunes cyclo une randonnée "longue". Ils étaient trois cette année à participer : Eliott, Louise et Maïlyne. Quatre adultes étaient aussi présents : Micheline, Christophe, Nadine et Laurent.
Dimanche 15 octobre 2023, la commune de Nouan-le-Fuzelier a vibré au rythme du vélo. Le club La Ruche cyclo organisait sa randonnée annuelle « Châtaignes et bogues », pour sa 30e année consécutive.
Sa présidente, Valérie Auger, a recensé 132 participants, dont 73 vététistes et 59 rouleurs. Les quatre parcours étaient fixés à 33 et 51 km pour les VTT , et 43 et 80 pour les « routes ». À leur arrivée à la salle des fêtes, peu avant midi, les protagonistes ont pu apprécier les châtaignes et leur cidre, avant la remise des récompenses.
En marge de la manifestation, la famille Pommier, descendante du créateur, aujourd’hui décédé, a fait don des albums photo retraçant les anciennes randonnées, geste applaudi par tous.
Voir en ligne : Artcile de la Nouvelle République publié le 18/10/2023
Texte paru dans la Nouvelle République
publié le mercredi 18 octobre 2023
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C’était samedi 7 octobre 2023. C’était la troisième rencontre de l’année des écoles cyclo. de la région (malheureusement seuls deux cluibs avaient mobilisés leurs jeunes : Orchaise et Nouan-le-Fuzelier). C’était une belle journée très ensoleillée. Ce fut une journée de plaisirs.
| Pour le départ prévu vers huit heures, le rendez-vous était fixé à sept heures quarante-cinq. Ils étaient bien là et, dès les vélos chargés, c’est le départ vers Candé-sur-Beuvron au bord de la Loire. | |||
| Le programme de la matinée est simple : opération éco-citoyenne entre Candé-sur-Beuvron et Chaumont-sur-Loire en ramassant les déchets rencontrés sur la piste de la "Loire à vélo" et en découvrant la rive sud de la Loire (surtout pour les nouanais parce que Orchaise est relativement tout proche). | |||
| Arrivés à Chaumont-sur-Loire, sous le château et en bord de Loire, c’est de nouveau le départ pour un petit tour à vélo. Cette fois, il y aura une côte raide pour monter au château puis la descente impressionnante juste sous le château avant de revenir au bord de la Loire. | |||
| Le pique-nique, tiré du sac, est prévu à a guinguette de Chaumont-sur-Loire. C’est Thomas, un jeune encadrant qui a apporté les sacs ce matin pour que les dos de nos jeunes cyclos ne souffrent pas trop. | |||
| Dès treize heures, c’est de nouveau un départ à vélo mais cette fois-ci, le trajet est très court. Il s’agit d’aller garer les vélos à l’entrée du château. Ensuite c’est la montée à pied sur les longues marches. Ils ont compté 126 marches ! | |||
| Et puis, c’est la découverte des jardins. Après la distribution du dossier des énigmes à résoudre, chacun part seul ou en groupe cherche les réponses. Il faut s’orienter sur la carte pour trouver les "bons" jardins et, ensuite, trouver la réponse aux questions. Finalement tout le monde (enfin presque) se retrouve aux "nids d’humains", le jardin numéro 24 avant d’aller chercher la récompense à l’accueil des jardins. C’est un parchemin qui certifie la résolution de toutes les énigmes. | |||
| Enfin c’est le retour vers Candé-sur-Beuvron à vélo. Les trois groupes décident de rouler vite sur la piste de la "Loire à Vélo", tellement vite que Roland doit un peu aider Lila, pas encore sept ans, pour qu’elle puisse suivre sur son vélo aux roues plus petites que les autres. | |||
| Eric, le délégué département jeunes, fait les calculs (dix points de participation et les notes obtenues aux énigmes) avant d’offrir un goûter à tous les participants pendant que quelques encadrants chargent les vélos. | |||
| Le retour se fait dans les bavardages. Parions que ce soir, il y aura des histoires à raconter à la maison parce que tout le monde à l’air enchanté de ce petit déplacement. | |||
Place au résumé en images de cette journée.
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publié le lundi 9 octobre 2023 , par
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Résumé en images de la balade à vélo "Semaine Bleue"
Mercredi 4 octobre 2023
15 participants pour cette balade à vélo de 28 km sur les petites routes de Sologne.
publié le mercredi 4 octobre 2023 , par
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Nous n’étions pas nombreux, deux : Laurent et Roland. Pourtant, il faisait beau.
Nous sommes partis vers l’étang des Césars. Une chasse en cours avait posté ces chasseurs sur le chemin que nous souhaitions prendre. Nous avons donc fait un petit détour.
Avant Brinon-sur-Sauldre, quelques passages, pas trop longs, avaient été défoncés par les cochons (c’est ainsi qu’on appelle les sangliers en Sologne). Le sol étant très sec, nous n’avons pas trop peiné.
A Brinon, nous avons pris le chemin qui longe le canal. Nous craignions alors d’être gênés par des berges encombrées parce qu’il est plutôt fréquent qu’un arbre soit tombé récemment en travers du chemin, qu’un tunnel creusé par les ragondins se soit effondré ou que les sangliers aient défoncé le chemin. Nous n’avons trouvé qu’un seul bouleau mort qui nous a obligé à faire un peu de portage. Quelques passages étaient bien labourés par les groins noirs mais n’ont pas présenté de difficultés majeures. La fatigue, due surtout à une erreur de braquet, nous a fait abandonner les berges du canal plus tôt que prévu. A la sortie du chemin qui nous a permis de rejoindre la route, nous avons découvert que c’était un chemin privé.
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publié le dimanche 1er octobre 2023 , par
