Concours Européen à Skopjé
Skopjé en Macédoine
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La Macédoine est située entre la Bulgarie, la Serbie et l’Albanie. C’est également un pays pauvre car son économie est peu développée. De plus, c’est un pays qui a subi le plus gros tremblement de terre en 1963 (1000 morts, 3000 blessés et 120 000 sans abri). |
Le départ
Le jeudi soir, nous avions rendez-vous au siège de la FFCT . Nous sommes partis le vendredi matin vers six heures et nous sommes arrivés le soir vers dix-huit heures à Skopjé, la capitale de la Macédoine.
La veille du concours
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Nous avons rencontrés Sanja, notre interprète. Le soir, nous avons vu la forteresse de Skopjé. Nous avons aussi regardé la vidéo des épreuves du CEER pour le samedi. Nous en avons discuté avec nos coaches, Jean-Michel et Claudette, mais également avec Roland, Marie-Françoise et Alain. |
Le concours
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Le samedi était le jour du concours. Il y avait huit épreuves : deux de théorie et six de pratiques. Nous étions tous stressés ! Nous n’avons pas fait un super parcours mais nous n’étions pas trop déçus. Nous sommes déjà fiers d’être arrivés jusqu’ici. Les gradins étaient pleines d’enfants de différentes écoles de Macédoine. Le temps du classement venu, nous attendions notre tour. nous sommes finalement arrivés treizièmes.
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Le gala
Le samedi soir, il y avait un gala. Nous avons donné des cadeaux aux vingt-et-un autres pays qui ont donné aux autres pays ainsi qu’à nous.
Dernier jour
| Le dimanche matin, nous sommes allés en ville puis nous sommes allés dans un parc où il y avait des trampolines, des toboggans,... Pour le midi, il y avait un barbecue. Notre dernière soirée avec Sanja a été très mouvementée. Une fois que nous avons bien rigolé , Sanja est partie et nous avons dû aller nous coucher car le lundi matin, c’est à Trois heures que nous nous sommes levés. |
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Retour en France
Nous sommes arrivés à Paris. Le midi, nous avons mangé chez "Nina", un restaurant près de la FFCT . Puis, nous sommes rentrés chez nous très heureux de revoir nos parents.
Note du maître de toile : le texte a été écrit par Julie pour Nouan Rando mais les titres sont de Roland Bouat, le moniteur responsable de l’école de cyclotourisme de Nouan Rando dont Julie fait partie.
dimanche 24 octobre 2010 , par
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